Saison
J’regarde les nuages qui passent ils flottent et se déplacent grâce au vent, j’pense à ma vie d’avant dans le calme des montagnes au-dessus de l’océan, j’en ai fait du chemin j’savais pas comment faire j’voulais être moins triste qu’avant, les gens m’ont disquetté vivre avec eux c’est vivre dans l’mensonge, fuck, cette vie de merde, j’voudrais m’barrer loin vivre à des kilomètres, l’Homme est un menteur depuis la nuit des temps, on détruit c’qu’on touche donc on a mis des gants, c’est pas efficace, moi j’y repense tout l’temps, j’veux que tout s’efface, j’veux juste tous leurs prendre,
Pour une larme un sourire, un regard, un soupire, on prendra tout c’qui brille, pour la rage des souvenirs, un ami, un ennemi, ça peut aller très vite, donc je fume et je prie, j’me réveille et je crie impossible que j’oublie, dans le cœur que des flammes, dans la neige et le froid j’y repense et j’me dit.
Même si, les fleurs fanent sur les tombes, la vie c’est comme les saisons tu vois, on brûle on renaît chaque seconde, et pourtant le temps passe sur les montres, la vie c’est comme les saisons tu vois, on brûle, on renaît chaque seconde.
J’ai connu des bas et en même temps moi j’ai connu des hauts, j’me rappelle j’allais mal et en même temps j’remplissais l’trabendo, moins de joie que de peine, moins de love que de haine, depuis l’temps je sais pas qu’est c’qui m’retiens sur terre, j’suis fucked up.
Le tour du monde je vais en faire la boucle, après l’tour du monde j’irais refaire un tour, peut-être dans ton cœur sauf si plus rien n’te touche, j’suis fucked up, j’crois qu’plus rien ne me fait de peine, trop fucked up et tu sais…
Pour une larme un sourire, un regard, un soupire, on prendra tout c’qui brille, pour la rage des souvenirs, un ami, un ennemi, ça peut aller très vite, donc je fume et je prie, j’me réveille et je crie impossible que j’oublie, dans le cœur que des flammes, dans la neige et le froid j’y repense et j’me dit.
Même si, les fleurs fanent sur les tombes, la vie c’est comme les saisons tu vois, on brûle on renaît chaque seconde, et pourtant le temps passe sur les montres, la vie c’est comme les saisons tu vois, on brûle on renaît chaque seconde.