Ces hommes
Ils ont pris nos larmes pour la liberté
Volé toutes nos âmes pour se réchauffer
Ils ont bâti, au cœur d'une grande cité
L'histoire des femmes et de l'éternité
Ils sont des rois sourds, toujours affamés
De gloire et d'amour sous un ciel fané
Quand leur légende devient notre odyssée
Nue dans un temple, je me baigne dans l'ivresse de leurs promesses
Ces hommes qu'on projette, ces hommes qui lassent
Ces hommes sans trace qu'on n'oublie pas
Ces hommes déchaînent nos ambitions sensuelles
Ces hommes dans le temps, ces hommes enfants
Qu'on gâte, qu'on guette, qu'on pleure, souvent
Ces hommes, ces pères, Vainqueurs de tant de guerres
Ces hommes qu'on aime tant
Ils font notre gloire, héros essoufflés
Ils blessent sans savoir nos plus doux secrets
Époux d'un soir ou de toutes nos pensées
Pilleurs d'espoir lorsque tous nos poèmes filent dans un rêve
Ces hommes qu'on projette, ces hommes qui lassent
Ces hommes sans trace qu'on n'oublie pas
Ces hommes déchaînent nos ambitions sensuelles
Ces hommes dans le temps, ces hommes enfants
Qu'on gâte, qu'on guette, qu'on pleure, souvent
Ces hommes, ces pères, Vainqueurs de tant de guerres
Ces hommes qu'on aime tant
Ces hommes qu'on aime tant
Ces hommes qu'on projette, ces hommes qui lassent
Ces hommes sans trace qu'on n'oublie pas
Ces hommes déchaînent nos ambitions sensuelles
Ces hommes dans le temps, ces hommes enfants
Qu'on gâte, qu'on guette, qu'on pleure, souvent
Ces hommes, ces pères, Vainqueurs de tant de guerres
Ces hommes qu'on aime tant
Ces hommes qu'on projette, ces hommes qui lassent
Ces hommes sans trace qu'on n'oublie pas
Ces hommes déchaînent nos ambitions sensuelles
Ces hommes dans le temps, ces hommes enfants
Qu'on gâte, qu'on guette, qu'on pleure, souvent
Ces hommes, ces pères, Vainqueurs de tant de guerres
Ces hommes qu'on aime tant
Ces hommes qu'on aime tant
Ces hommes qu'on aime tant