Alcione, Acte II Scène 3: Symphonie - "Une fureur soudaine a saisi mes esprits"
PHORBAS
(dans l’antousiasme)
Une fureur soudaine a saisi mes esprits ;
Respectez le transport qui de mon cœur s’empare :
L’avenir se dévoile à mes regards surpris,
Le secret du sort se déclare.
Que vois-je ! Où suis-je ! O Ciel ! Quels effroyables cris !
(à Ceix)
Infortuné, tu perds l’objet que tu chéris.
Rien ne fléchit la Parque trop barbare,
Où t’entraîne l’amour ? Arrête ... tu péris.