Retour à l’essenciel
Si le silence sillonne quand nos
Cils se ferment apprécions
Le car le temps n'est pas si long
Ici et là hélas, si l'homme n'etait pas
Si las de ce pas ciblé
De ces syllabes en liasses
Qui enlassent une domination peu
Citée mais pourtant
Bien réelle devant ses yeux qui souffrent
Alors il se laisserait plus aller sans
Avoir besoin de mettre du poivre
Puis ce que nos vies
S'illuminent enlevons ce poids
Saluons l'homme sale et seul
Qui souvent en sait plus que ceux qui le
Méprisent quand il est allongé au sol
Le silence slalom entre les ames
Représentant les extremes opposés
D'un coté celui qu'est dans
Sa solitude, peu solide
À la recherche de gens solidaire
Triste derrière son masque et qui
Ne cesse de se morfondre
Et d'autre part la sagesse
Qui nécessite un vide le plus total
Un rien qui fait le tout
Qui enlève ce qui agresse pour être plus doux
Au final un grain de sable ou un
Brin de paille pourait remplir ce trou
Avec des si on met Paris en bouteille
Alors qu'avec des sons ça s'est su
Que ce n'est qu'un bout de rêve
Nous avons tous la silouhette du singe
Le cerveau tourne sur la girouette du saint
Si l'aide était plus simple
Alors nous vivrions dans un monde plus humble
(Est ce que t'appercoie la forêt?)
Les branches s'entremellent
Par dessus dessous faisant des noeuds fluides
Enfin quoi que
Les feuilles et les fruit's sont
Les idées qui germent
Les branches sont le cerveau
Plus bas est ce que tu
Vois cette branche cassé?
Celle qui manque surement part un geste
Propre a la connerie de l'homme
Ce qui lui à mit du temps à cicatrisée
Et qui ressemble comme deux goutte d'eau
A une ampoule dù au frotement de la bétise
Encore un peu plus bas on apercoie le tronc
Autrement dit le buste
Celui qui est plein de cicatrises mais
Son ecorce a beau etre épaisse
Il y a des trous
Des failles mais surtout une ecorse
L'epiderme de la force
La couverture qui nous bordent
Comme un soleil les tatouages sont visibles
Peinant a oublier ses douloureux souvenirs
Qu'il se les fassent faire ou non
De toute manière cela lui a
Été infliger sans choix
La terre me nourrit et quand l'humain
Fou la merde dans l'alimentaire
Alors cette terre fertile devient toxique
Et me fait pousser de travers
Nous sommes tous relier de cette
Maniere en dessous du sol
Et si tu butte un arbre
Qui est relier au mien
Alors tu buteras une bonne
Moitié de c'que j'suis
J'ai b'soin des miens pour
Me nourire chaque jour
De cette energie possitive
Plus bas, toujours, toujours plus bas
En arrivant aux racines, les ancetres
Ceux qui nous ont fait
Et comme dans la réalité, elles
Ils sont sous terre
Je suis, tu es, nous sommes
Les arbres de nos vies
Ils voudraient qu'on pense, qu'on est
Pas plus que des étiquettes
Qu'on sombre dans le silence
Pour oublier leurs erreurs
Qu'on soit des moutons ou des biquettes
Qu'on s'noie
Dans la piquette, pour se voiler la face
Devant l'horreur
L'essentiel, ce serait qu'on soit
Enfin tous unis
L'essentiel, serait qu'on retrouve un
But à nos vies
L'essentiel, serait qu'on retourne
À l'essence même
Car l'aspect financier nous fait
Vivre sans ciel
Ils voudraient qu'on pense, qu'on est
Pas plus que des étiquettes
Qu'on sombre dans le silence
Pour oublier leurs erreurs
Qu'on soit des moutons ou des biquettes
Qu'on s'noie
Dans la piquette, pour se voiler la face
Devant l'horreur
L'essentiel, ce serait qu'on soit
Enfin tous unis
L'essentiel, serait qu'on retrouve un
But à nos vies
L'essentiel, serait qu'on retourne
À l'essence même
Car l'aspect financier nous fait
Vivre sans ciel
Nous ne sommes qu'une forêt silencieuse
En attendant l'incendie et tu dépenses 5
80€ pour tes cigarettes alors
Que l'évolution culturelle
Et mentale ne vaut pas 1 centime
Melan, Omerta Muzik, retour à l'essentiel
Écoute ton cœur!