Mon imagination
Les matins les plus grisDans le bus de sept heures et demiJ'me fais écraser les piedsJe me faufile pour gagnerLe coin près de la sortieLe bruits des portes hydrauliquesMe compose une musiqueMon imaginationSe joue des murs de bétonTout disparaît devant moiMa destinationC'est les forêts les plus loinDe votre champ de visionJe veux revoir l'horizonMon obstinationProfonde comme l'est l'océanLa mer et le ventMe bercent doucementJe ne suis plus avec vousLes matins les plus grisDe ce désespoir qui colleComme le sucre au fond d'un bolMa porale de damnéDifficile de décollerJe me retourne le filmEt je m'évade avecMon imaginationSe joue des murs de bétonTout disparaît devant moiMa destinationC'est les forêts les plus loinDe votre champ de visionJe veux revoir l'horizonMon obstinationProfonde comme l'est l'océanLa mer et le ventMe bercent doucementJe ne suis plus avec vous