JAMAIS ELLE

Et si, ton cœur traîne toujours dans sa tête Et si, son visage ancré dans la tienne
À savoir moi je suis prête à tout Pour le voir s’écouler sur mes joues
Moi j’y crois encore à ce qui a fait de vous Un instant qui est passé après coup

Je suis jalouse mais de quoi ? De toi, de moi, de nous
Du vent dans ses cheveux, La couleur de ses yeux
De ta main sur son dos De ta voix dans son cou Car je ne serai jamais elle
Je dois m’y faire après tout
Je suis jalouse de t’avoir, qu’après elle et c’est tout D’avoir goûté tes lèvres
Après qu'elle ait passé son tour De son regard cyan
Mon cœur en un instant Car je ne suis pas elle
Je dois m’y faire après tout

Et si, sa peau est plus douce que la mienne
Que de son cœur s’échappe une chaleur immortelle À savoir moi je suis prête à tout
Pour le voir s’écouler sur mes joues
Moi j’y crois encore à ce qui a fait de vous Un instant qui est passé après coup

Je suis jalouse mais de quoi ? De toi, de moi, de nous
Du vent dans ses cheveux, La couleur de ses yeux
De ta main sur son dos De ta voix dans son cou

Car je ne serai jamais elle Je dois m’y faire après tout Je suis jalouse de t’avoir, Qu’après elle et c’est tout D’avoir goûté tes lèvres
Après qu'elle ait passé son tour De son regard cyan
Mon cœur en un instant Car je ne suis pas elle
Je dois m’y faire après tout

Mais si un jour vos cœurs se croisent Que la passion s’empare de toi
Que moi j’attends en restant sage, dis-moi Est-ce que t’y crois encore ?
Est-ce que t’y crois encore ?
Et si je garde ces images-là en tête,
Que je ne les oublie pas à me faire des films Sans toi et moi, dis-moi
Est-ce que t’y crois encore ? Ou bien même
Est-ce que t’y penses encore ?

Je suis jalouse mais de quoi ? De toi, de moi, de nous
Du vent dans ses cheveux, La couleur de ses yeux
De ta main sur son dos De ta voix dans son cou Car je ne serai jamais elle
Je dois m’y faire après tout Qu’après elle et c’est tout D’avoir gouté tes lèvres
Après qu'elle ait passé son tour De son regard cyan
Mon cœur en un instant Car je ne suis pas elle
Je dois m’y faire après tout