Un par un
Je dessine des ombres longues
Des lumières de fin d’été
Et ton ombre qui s’allonge
Comme une rivière sur le plancher
Un courant froid que j’ai laissé
Doucement t’emporter
Comme l’heure en trop qui disparaissait
Quand celle d’hiver revenait
Et l’ombre qui remontera flottera à la surface
Elle ira rejoindre tous les autres morceaux de glace
Là où l’eau devient de la mort tellement il fait cassant
Et tellement la mort fera partie du plan
(La la, la la la, la la, la la la...)
J’ai emballé dans la toile
Un des mille corps à larguer
L’ai trainé sous les étoiles
Comme un boulet sur le plancher
Un courant froid que tu as laissé
Doucement m’emporter
Comme l’heure en trop qui disparaissait
Quand celle d’hiver revenait
Et l’ombre qui remontera flottera à la surface
Elle ira rejoindre tous les autres morceaux de glace
Là où l’eau devient de la mort tellement il fait cassant
Et tellement la mort fera partie du plan
Oui, tellement la mort fera partie du plan
(La la, la la la, la la, la la la...)