LE COEUR A L’ENVERS
Couplet 1 :
Je veux renaître,
Sans ton aide, mais,
Je vois tes courbes dans mes insomnies,
Les fantômes de nos ‘love stories’.
Tout s’éclaire,
Au fil des kilomètres,
De la distance entre nos vies,
Les douze coups de nos heures complices.
Je veux bien l’admettre,
Ok, peut-être que je galère,
Mais si tu me laisse le temps pour me refaire,
Je serais tout ce qu’il faut pour te plaire !
REFRAIN
Sans toi c’est descendre aux enfers,
Je sais même plus même trop comment faut faire,
J’ai l’impression de ralentir,
pas question de m’enfuir.
Marcher sur la tête le coeur à l’envers,
Te perdre c’est comme perdre un empire.
Comme un froid décembre enfer,
Mais toi t’aimerais que je grandisse !
Couplet 2 :
Un beau jour je vais m’en remettre,
Qui sait, peut-être,
Ton sortilège cédera.
T’es sortie de mon périmètre
Lassée, peut-être,
De ces promesses que je ne fais pas.
Je fais semblant que ça roule : que dalle !
Je regrette même tes excès de pouvoir,
Je pense à nous toute la journée…
Peut-être bien que je suis aux abois
Quand tout ne tourne pas autour de toi.
J’vais pas me jeter par la fenêtre !
REFRAIN
Sans toi c’est descendre aux enfers,
Je sais même plus même trop comment faut faire,
J’ai l’impression de ralentir,
pas question de m’enfuir.
Marcher sur la tête le coeur à l’envers,
Te perdre c’est comme perdre un empire.
Comme un froid décembre enfer,
Mais toi t’aimerais que je grandisse !
PONT :
Vexé, je me noie.
Je pagaie, je rame.
J’essaie je rate.
Dès que je te vois,
Je perds l’usage,
De ma tête :
Sors de ma tête !
En même temps quand je l’ouvre,
Tu ressens des envie louches.
J’aime autant qu’on se mouille,
Dis-moi ce qui te touche.
J’aimais tant qu’on se touche !
Te rejoindre sous la douche…
Je ressens des envies louches,
En même temps tu t’en doute…
REFRAIN
Sans toi c’est descendre aux enfers,
Je sais même plus même trop comment faut faire,
J’ai l’impression de ralentir,
pas question de m’enfuir.
Marcher sur la tête le coeur à l’envers,
Te perdre c’est comme perdre un empire.
Comme un froid décembre enfer,
Mais toi t’aimerais que je grandisse !