Vendeurs De Larmes (Daniel Balavoine)
Comme ces enfants de putes qui chantent
Les années soixante, style Bob Dylan
Qui nous refourguent des chansons de rien
Juste pour nous piquer nos femmes.
Petits malins, chanteurs de demain sur de grands refrains d'hier.
Piquer un sac même à un vieux, bah y'a vraiment pas de quoi être fier
Ni être heureux, alors je dis.
Oh oh oh oh, chanteurs de charme
Oh oh oh oh, rendez-nous nos femmes.
Oh oh oh oh, vendeurs de larmes.
Oh oh oh oh, trafiquants d'armes, tous trafiquants d'armes.
Bluesmen en paille, malappris, dégueulent dans micros et amplis
Qui tournent le dos à Rossini, débutant comme des stars finies
Révolutionnaires qui comptent pour du beurre
À l'ombre d'une ville en pleurs.
Piquer un sac même à un vieux, bah y'a vraiment pas de quoi être fier.
Mon p'tit gars, ni être heureux, alors je dis.
Oh oh oh oh, chanteurs de charme
Oh oh oh oh, rendez-nous nos femmes.
Oh oh oh oh, vendeurs de larmes.
Oh oh oh oh, trafiquants d'armes, tous trafiquants d'armes.
Vendeurs de larmes, chanteurs de charme.
Tous trafiquants d'armes.
Vendeurs de larmes, chanteurs de charme, alors je dis.
Oh oh oh oh, chanteurs de charme
Oh oh oh oh, rendez-nous nos femmes.
Oh oh oh oh, vendeurs de larmes.
Oh oh oh oh, trafiquants d'armes, alors je dis.
Oh oh oh oh, chanteurs de charme
Oh oh oh oh, rendez-nous nos femmes.
Oh oh oh oh, vendeurs de larmes.
Oh oh oh oh, tous trafiquants d'armes, tous trafiquants d'armes.
Vendeurs de larmes, chanteurs de charme, trafiquants d'armes.
Vendeurs de larmes, chanteurs de charme, trafiquants d'armes.