LOUISA
Louisa, c’est un rêve, la douceur de mes nuits
C’est un songe sur la grève, vous en rêveriez aussi…
Louisa, si je dors ne me réveille pas
T’es si belle mon amour, le ciel est jaloux de toi.
Louisa, c’est l’hiver quand tu es loin de moi
C’est l’enfer quand je ne sens plus tes doigts
Louisa dans tes veines coulent mes plus beaux accords
Louisa si tu m’aimes, chuchote-le-moi plus fort.
Louisa, le feu et l’espoir me brûlaient d’émoi,
Ton égo, très coureur, a tout fané je crois.
Louisa, ce soir je dérive au vent, je tournoie
Je doute et je tangue, je divague ; ô désarroi !
Louisa, c’est l’hiver quand tu es loin de moi
C’est l’enfer quand je ne sens plus tes doigts
Louisa dans tes veines coulent mes plus beaux accords
Louisa si tu m’aimes, chuchote le moi plus fort.
Louisa, si plus tard on venait à se revoir,
Au détour d’une rue, sache que mon cœur a battu
Louisa les étoiles filent dans nos derniers baisers
Me laissent immobile et tatoué de ton prénom imprégné
Louisa, c’est l’hiver quand tu es loin de moi
C’est l’enfer quand je ne sens plus tes doigts
Louisa dans tes veines coulent mes plus beaux accords
Louisa si tu m’aimes, chuchote-le-moi plus fort.