Bad Boys de Marseille
Refrain:Tempérament fatigué, on est né sous le soleilTu reconnais bien là le style des bad boysChaque jour que Dieu fait, à 3 heures, j'ai encore sommeilTu reconnais bien là le style des bad boysAu lever, poste à fondu, bon son dans les oreillesTu reconnais bien là le style des bad boysEt le soir, tard, les renards se ruent sur l'oseilleTu reconnais bien là le style des bad boys de MarseilleCanaille, un mauvais garçonCanaille, un mauvais garçonCanaille, un mauvais garçonLa vie est courteLes délices du bonheur substantielLa mort frappe l'oiseauAssassiné en plein cielLe sol collaboreA emporté des fois les corpsLe bad boy sortQuand le porc au nord s'endort encoreMourir trente ansPasser du bon tempsL'angoisse qu'un enfant fait du flaireUn type arrogantAssuré de voir un autre jour sous les coupsJe peux quand même apprécierUn coucher de soleil comme vousRester lucideSi les soucis trouble ma raisonQuand des tour de bétonS'érigent à l'horizonMais vraiment c'est drôleMa philosophieEst-elle un sauleS'élève vers les yeuxPour replonger plus tard vers le solVision de cauchemar, noirDésert du savoir, voirL'ange déchu ma mise sur le purgatoireCroire en soiRien de nouveau sous le soleilTu reconnais bien là le style des bad boys{au Refrain}On a dit de Marseille qu'elle était la ville initialeOn ne vit qu'une foisFaut prendre du bon temps,oui, autantProfiter des instants les plus plaisantsLe monde est ainsi truffé de subtilitésTrésors cachés de gatsésSuffit de les débusquerEn abuser avec aise et... Tu veux me faire confianceJ'entre dans la danseUn sale gosse de plus siègeA la table des hautes instancesUn acro du microQui fera mal ta têtePrend un aspoEt laisse faire les pro, m'a dit MarseilleMaintenant tu sais que dans ma villeDes mecs déchirentMultiplier notre empireGraver notre musiqueDans tes souvenirsFaire le mal carDorénavant la famille sort du côté obscur, surDe t'avoir à l'usure, gazier{au Refrain}Chaud comme MarseilleDans ma vie, y a rienPourtant elle est grandeDes 90s sous contrebandeFaçon LucianoDans la légendeL'indompté entreArmes blanches, branchéLaisse des traces aux intrus yo, le RatFracasse les instras sur instruDans la rue les combattantsSerre les rangsFiers, mê
Me sans un francOublie la frime, comprendJ'envoie mes rimes comme des cinq francsGrand ou petit noyé dans la masseLes rapaces manque d'espaceSe tirent dans les pattesFait place au bagarreur du micIci c'est Mars, surface rougeLa population paniqueHistoire, tragiqueAtmosphère tendue, volcaniqueLinge pendu, murs salisBoss, traficTape au cœur de la zique automatiqueDe ma click{au Refrain:}